- 2 442 kiffs
- 3 513 commentaires
- 4 810 visites
Guerre, Mort
L'amour est une rose fragile et délicate,
pourtant dangereuse lorsque l'on s'y frotte.
Chaque pétale est une illusion comme cette guerre,
que nous voudrions arrêter d'un simple geste.
Chaque épine une réalité dévastée,
une réalité qui n'est qu'une vaste comédie.
Chaque racine pour chaque pensées, chaque idéaux
défendus et ancrés profondément en chacun des soldats.
Chaque goutte d'eau pour les larmes versées,
en faveur de nos disparus dans les tranchées.
Chaque couleur pour un rêve de paix détruit,
anéanti par les nombreux tirs ennemis.
Baudelaire avait sûrement raison lorsqu'il disait
pouvoir trouver la paix après le soleil couchant.
pourtant dangereuse lorsque l'on s'y frotte.
Chaque pétale est une illusion comme cette guerre,
que nous voudrions arrêter d'un simple geste.
Chaque épine une réalité dévastée,
une réalité qui n'est qu'une vaste comédie.
Chaque racine pour chaque pensées, chaque idéaux
défendus et ancrés profondément en chacun des soldats.
Chaque goutte d'eau pour les larmes versées,
en faveur de nos disparus dans les tranchées.
Chaque couleur pour un rêve de paix détruit,
anéanti par les nombreux tirs ennemis.
Baudelaire avait sûrement raison lorsqu'il disait
pouvoir trouver la paix après le soleil couchant.
Référence :
« Charles Baudelaire - Méditation, Recueillement. »
Je lève ma main armée prêt à tuer,
mon geste est interrompu.
Serait-ce ma raison ou les cris de mon c½ur
qui font que j'ai perdu ?
Mes forces me délaissent et j'hésite alors,
pendant que se trouble ma vue.
Je tremble face à cet homme suppliant,
par le remord abattu.
Il a été innocenté par un jury payé pour gagner,
délivrer ce vieillard barbu.
mon geste est interrompu.
Serait-ce ma raison ou les cris de mon c½ur
qui font que j'ai perdu ?
Mes forces me délaissent et j'hésite alors,
pendant que se trouble ma vue.
Je tremble face à cet homme suppliant,
par le remord abattu.
Il a été innocenté par un jury payé pour gagner,
délivrer ce vieillard barbu.
Il a pris peur cette nuit-là arme à la main
en marchant je l'ai aperçu.
Cette fille pleurait sous mes yeux impuissant,
mon âme s'est fendue.
J'ai été accusé puisque j'étais sur les lieux,
je n'avais aucune issue.
J'ai décidé de la venger avant de finir en prison,
mais je n'ai pas pu.
en marchant je l'ai aperçu.
Cette fille pleurait sous mes yeux impuissant,
mon âme s'est fendue.
J'ai été accusé puisque j'étais sur les lieux,
je n'avais aucune issue.
J'ai décidé de la venger avant de finir en prison,
mais je n'ai pas pu.
L'homme s'est enfui sûrement pour voler de nouveau,
et moi, l'inconnu de minuit, j'ai terminé enfermé, innocent.
et moi, l'inconnu de minuit, j'ai terminé enfermé, innocent.
Parfois je regarde par la fenêtre un paysage aux allures de tranquillité, de plaisirs ;
l'illusion est parfaite, pour toutes personnes n'y prêtant pas la moindre attention...
Mais ce tableau ne peux me tromper, la guerre fait rage en pays étranger
et l'horizon se pare encore d'un rouge nouveau !
Mes larmes coulent pour tous ceux qui sont morts en vain espérant l'avenir,
la guerre n'a pas de limites, c'est la plus grande des aberrations,
elle est à nos portes à chaque instant et dans nos c½urs avec soin.
Je ne suis jamais en paix, et cette sensation n'est pas un cadeau.
La société d'aujourd'hui refuse catégoriquement de s'ouvrir,
pour eux qui vivent entourés de luxe, ce n'est qu'une distraction !
Je peux voir les médias en parler comme d'un fait divers j'en suis témoin,
mais nous savons tous qu'en réalité, nous sommes de ces guerres les bourreaux !
Nos mains ne sont peut-être pas tâchées mais notre âme s'est faite ternir,
ternir par ce ciel éclatant et ce soleil éblouissant qui sèment la confusion.
Quand cesserons-nous donc d'ignorer ce qu'on ne peut expliquer,
quand cesserons-nous de détourner les yeux et de vouloir baisser le rideau ?
