
Eldorado
Il n'y a pas moyen que je me noie,
si ce n'est dans ton c½ur ou tes yeux.
Je navigue sans savoir pourquoi
je poursuis ton côté chaleureux.
Même si mon c½ur chavire, le bateau reste à flots,
dans le vent, dans le temps.
Le canot tanguera, mon c½ur reste à niveau,
dans l'orage, vers la plage.
Eldorado, je vogue vers toi,
et ni les flots, ni l'océan...
Eldorado, je vogue vers toi,
et ni la houle, ni les rouleaux...
Je navigue vers toi !
Je t'ai cherché avec euphorie.
Ta lumière tourmente mon nirvana.
Je ne souhaite pas perdre la vie,
ni la direction que tu auras.
Même si mon c½ur chavire, le bateau reste à flots,
dans l'éden, dans la Seine.
Le canot tanguera, mon c½ur reste à niveau,
dans la nuit, vers la pluie.
Eldorado, je vogue vers toi,
et ni les flots, ni l'océan...
Eldorado, je vogue vers toi,
et ni la houle, ni les rouleaux...
Je navigue vers le paradis !
Il n'y a pas moyen que je me noie,
si ce n'est dans ton c½ur ou tes yeux.
Je navigue sans savoir pourquoi
je poursuis ton côté chaleureux.
Même si mon c½ur chavire, le bateau reste à flots,
dans le vent, dans le temps.
Le canot tanguera, mon c½ur reste à niveau,
dans l'orage, vers la plage.
Eldorado, je vogue vers toi,
et ni les flots, ni l'océan...
Eldorado, je vogue vers toi,
et ni la houle, ni les rouleaux...
Je navigue vers toi !
Je t'ai cherché avec euphorie.
Ta lumière tourmente mon nirvana.
Je ne souhaite pas perdre la vie,
ni la direction que tu auras.
Même si mon c½ur chavire, le bateau reste à flots,
dans l'éden, dans la Seine.
Le canot tanguera, mon c½ur reste à niveau,
dans la nuit, vers la pluie.
Eldorado, je vogue vers toi,
et ni les flots, ni l'océan...
Eldorado, je vogue vers toi,
et ni la houle, ni les rouleaux...
Je navigue vers le paradis !
Explications :
L'Eldorado vient de l'espagnol "el dorado" ("le doré"). C'est une contrée mythique d'Amérique du Sud supposée regorger d'or. Ce mythe est apparu dans la région de Bogota en 1536. Il a rapidement été relayé par les conquistadors espagnols qui y ont cru sur la base du récit du voyage de Francisco de Orellana par Gaspar de Carvajal, et dans le cadre du mythe plus ancien des cités d'or, qui était aussi à l'époque largement diffusé. Le mirage d'une contrée fabuleusement riche en or a alimenté sur près de quatre siècles une sanglante course au trésor. Les conquistadors n'ont pas trouvé l'Eldorado, mais ils ont arraché aux Incas et aux Chibchas des monceaux d'or.