Ceci est un sonnet en octosyllabe avec des rimes embrassées.
La liberté s'est envolée,
je ne peux donc en apparence
te protéger de ta sentence
et c'est ainsi qu'on t'a tué !

Savoir qu'hier nous deux étions
encore enlacés et je pense,
de toute mon âme et mes sens
que de ma vie je t'ai aimé.
Bonheur que j'ai pu ressentir
a disparu tel la fumée,
qui n'a cessé de te souffrir !
Laisser aller jusqu'à mourir
attends-moi en haut à jamais,
car au ciel je m'envolerai...
je ne peux donc en apparence
te protéger de ta sentence
et c'est ainsi qu'on t'a tué !

Savoir qu'hier nous deux étions
encore enlacés et je pense,
de toute mon âme et mes sens
que de ma vie je t'ai aimé.
Bonheur que j'ai pu ressentir
a disparu tel la fumée,
qui n'a cessé de te souffrir !
Laisser aller jusqu'à mourir
attends-moi en haut à jamais,
car au ciel je m'envolerai...