Le ciel s'est paré de larmes, et les larmes ruissellent sur les pavés de la ville.
Tu marches le long des rues envahies de parapluies noirs et rouges. Tu n'en as pas.
Les passants te passent sans te regarder et les voitures éclaboussent tes pas.
Tu marches devant, à gauche, à droite, puis tu fais demi-tour jusqu'à en perdre le fil.
Cette pluie glaciale qui glisse de tes cheveux à ton visage te plonge dans tes souvenirs.
La sensation te paraît proche de celle que tu as ressenti lorsque ton proche est mort.
Le froid te rappelle combien la solitude te poursuit peu importe le décor.
L'eau noie de plus en plus le chagrin qui a effacé depuis trop longtemps ton sourire.
Tes souvenirs se sont décolorés avec le temps. Tu t'y es perdu, quelque part.
Le parapluie noir te renvoi l'image d'un enterrement, et le rouge d'un accident.
Ton ancien reflet se reflète sur tous les visages que tu croises, l'espace d'un instant.
Le jour s'est caché depuis un moment, tu continus de marcher, il se fait tard.
Les rues se vident peu à peu. Mais toi tu y restes, à méditer sur un passé révolu.
Tu y comptes les secondes, les minutes, les heures, les semaines, les mois et enfin les années.
La fin te semble interminable. Tu n'auras finalement pas vécu, à contempler ce qui était arrivé.
Tu aurais dû t'apercevoir qu'il fallait regarder demain, et au-delà de l'orage qui s'était abattu.
Tu marches le long des rues envahies de parapluies noirs et rouges. Tu n'en as pas.
Les passants te passent sans te regarder et les voitures éclaboussent tes pas.
Tu marches devant, à gauche, à droite, puis tu fais demi-tour jusqu'à en perdre le fil.
Cette pluie glaciale qui glisse de tes cheveux à ton visage te plonge dans tes souvenirs.
La sensation te paraît proche de celle que tu as ressenti lorsque ton proche est mort.
Le froid te rappelle combien la solitude te poursuit peu importe le décor.
L'eau noie de plus en plus le chagrin qui a effacé depuis trop longtemps ton sourire.
Tes souvenirs se sont décolorés avec le temps. Tu t'y es perdu, quelque part.
Le parapluie noir te renvoi l'image d'un enterrement, et le rouge d'un accident.
Ton ancien reflet se reflète sur tous les visages que tu croises, l'espace d'un instant.
Le jour s'est caché depuis un moment, tu continus de marcher, il se fait tard.
Les rues se vident peu à peu. Mais toi tu y restes, à méditer sur un passé révolu.
Tu y comptes les secondes, les minutes, les heures, les semaines, les mois et enfin les années.
La fin te semble interminable. Tu n'auras finalement pas vécu, à contempler ce qui était arrivé.
Tu aurais dû t'apercevoir qu'il fallait regarder demain, et au-delà de l'orage qui s'était abattu.
