
L'abeille butine mes mots alcooliques.
Les odeurs, amnésique m'ont rendu,
et le vent enivre mes envolées lyriques.
Parmi les fleurs j'ai longtemps attendu.


J'ai parfois l'impression qu'on m'a trompé.
La chaleur a volé mon enfance.
Je m'ennuie, chaque cailloux à compter,
parmi cette après-midi d'errance.
Et je marche sur les feuilles mortes,
en essayant de retrouver mes souvenirs.
Sur les regrets se referme la porte,
et les couleurs mélangent l'avenir.
Le tapis blanc défile sous mes yeux.
Je n'ai pas voulu m'attacher à ce monde,
de peur que cet espace silencieux
n'absorbe mon âme vagabonde.
Les odeurs, amnésique m'ont rendu,
et le vent enivre mes envolées lyriques.
Parmi les fleurs j'ai longtemps attendu.


J'ai parfois l'impression qu'on m'a trompé.
La chaleur a volé mon enfance.
Je m'ennuie, chaque cailloux à compter,
parmi cette après-midi d'errance.
Et je marche sur les feuilles mortes,
en essayant de retrouver mes souvenirs.
Sur les regrets se referme la porte,
et les couleurs mélangent l'avenir.
Le tapis blanc défile sous mes yeux.
Je n'ai pas voulu m'attacher à ce monde,
de peur que cet espace silencieux
n'absorbe mon âme vagabonde.