Si devant moi, se pavane le sacrilège, à ma gauche se complaît l'impureté.
Nous détournons tous, à un moment ou à un autre, les yeux de ces horreurs.
Nous oublions que le mal est partout, qu'il s'insinue avec ardeur,
dans nos moindres faiblesses, sans jamais disparaître, exploitant nos peurs.
Nous passons notre temps à blasphémer, à jouer de nos atouts afin d'épater les autres,
nous continuons de rechercher la jouissance la plus totale, ce désir de débauche,
mais c'est cette recherche obsessionnelle, qui permet au mal de rester parmi nous.
Un mal qui ne porte nul autre nom que Luxure.

Différentes luxures selon le catholicisme : la fornication (rapport sexuel entre deux personnes non mariées) ; le stupre (débauche ou action honteuse) ; le rapt (enlèvement illégal) ; l'adultère (rapport sexuel consentant d'une personne mariée avec une personne autre que son conjoint) ; l'inceste (relation sexuelle entre proche parents) ; le sacrilège (atteinte portée à quelqu'un particulièrement digne de respect) ; la bestialité (rapport sexuel avec un animal ou personne se comportant comme une bête) ; la sodomie (rapport sexuel avec pénétration par l'anus) ; l'onanisme (masturbation masculine ou contraception naturelle avec éjaculation de l'homme en dehors du vagin de la femme) ; l'impureté (ce qui est mauvais, non pur).
« L'amour, c'est le soleil après la pluie, et la luxure, c'est l'orage après le soleil » William Shakespeare