sur la rosée du matin de mes vêtements.
Ma voix résonne silencieusement
dans cet hiver grandissant.
Je peux marcher librement, pourtant,
je ne peux m'empêcher soudainement,
de ressentir le vide en moi, le vent,
plus glacial que jamais refroidir mon sang.
Je repense aux années passées où enfant,
j'étais admiré de tous, parents et enfants,
où j'étais le jouet le plus resplendissant.
J'ai retrouvé mon amour, ma liberté, mon temps,
mais j'ai perdu en chemin mon esprit et mon rang.
J'ai échangé mon sourire contre une délivrance !
Une délivrance, douce souffrance des enfers !