Ô Lune ! Toi qui es blanche et ronde
toi qui illumine ce monde,
Que vois-tu de là-haut
parmi les étendues d'eaux ?
Toi qui rayonnes du soir au matin
sais-tu ce qu'on ressent quand on te tend la main ?
Ou lorsque l'on te dessine sur une feuille de papier
et qu'il ne nous manque plus que la grandeur d'une forêt ?
On entrevoit de l'espoir et un peu de chaleur
mêlé à de la joie et du bonheur.
Nous marchons vers cette lueur
malgré notre angoisse et nos peurs.
Toi qui nous regardes, que nous réserves-tu ?
Pourquoi ce sourire et ce bref salut ?
Que crois-tu faire en te cachant la journée
et en revenant de nuit nous narrer ton passé ?
Peu importe celui-ci,
puisque ton présent est ici,
que ton avenir est assurée,
et qu'au ciel tu es liée ...
toi qui illumine ce monde,
Que vois-tu de là-haut
parmi les étendues d'eaux ?
Toi qui rayonnes du soir au matin
sais-tu ce qu'on ressent quand on te tend la main ?
Ou lorsque l'on te dessine sur une feuille de papier
et qu'il ne nous manque plus que la grandeur d'une forêt ?
On entrevoit de l'espoir et un peu de chaleur
mêlé à de la joie et du bonheur.
Nous marchons vers cette lueur
malgré notre angoisse et nos peurs.
Toi qui nous regardes, que nous réserves-tu ?
Pourquoi ce sourire et ce bref salut ?
Que crois-tu faire en te cachant la journée
et en revenant de nuit nous narrer ton passé ?
Peu importe celui-ci,
puisque ton présent est ici,
que ton avenir est assurée,
et qu'au ciel tu es liée ...
Ciel
